Ainsi, après une démarche qui a mobilisé temps, énergie et compétences de la part de l’ensemble des membres de l’ASEA, il est nécessaire de faire vivre ce document.
C’est tout l’enjeu des années à venir : il ne suffit pas d’écrire son projet associatif, il faut lui donner vie. Par conséquent, l’ASEA va mettre en place différents outils et développer des moyens pour que les orientations annoncées et les valeurs affirmées, dans son projet, soient portées et défendues par l’Association au quotidien.
Ainsi, l’ASEA va :
- Utiliser l’Assemblée Générale du 18 juin 2007 pour communiquer le plus largement possible sur son projet.
- Démultiplier son projet dans des programmes plus courts et plus techniques que sont les projets d’établissements et de services, rendus obligatoires par la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale, déjà mise en œuvre dans l’Association.
- Définir un plan d’action qui permettra de décliner et rendre opérationnelle chacune des orientations prises. Ainsi, chaque engagement associatif doit se traduire en objectifs intermédiaires, puis en des actions concrètes, définissant clairement le destinataire de cette action, le référent, les moyens nécessaires mobilisables et la durée de cette action. Ce plan d’action doit constituer un outil opérationnel d’aide à l’évaluation du projet associatif.
- Mettre en place un comité de suivi qui devra accompagner la mise en œuvre concrète du projet associatif en étant responsable des propositions de plans d’action, garant de la déclinaison du projet en actions concrètes et de la cohérence des liens entre toutes les actions opérationnelles.
Ce comité suivra ainsi le projet associatif sur les cinq ans à venir en rendant compte régulièrement au Conseil d’Administration de l’avancée des travaux, des difficultés éventuelles et en communiquant auprès de l’ensemble des acteurs de l’Association sur la mise en œuvre du projet associatif.